BIBLIOGRAPHIE :

Enfin, je vous précise que vous pouvez retrouver cette histoire en version multimédia avec des liens et les photos ainsi qu’un formulaire en ligne sur le Net à l’adresse :

http://www.chabanon.org

ou nous contacter par mel à :

mailto:thierry.chaba@infonie.fr

 

 

 


 

NOTES

 


 

PAGE 1(introduction et situation)

  1.  C’est lors d’un voyage qu’ils appelaient pèlerinage tant leur grand père alors qu’ils étaient enfants leur avait raconté la vie et l’histoire de les Fons vers le domaine de leur ancêtre que Lucien Michel , son épouse et ses enfants rencontrent la famille Béringer, on est à Pâques 1940.

  2.  Sur l’orthographe du domaine voir plus loin, mais aujourd’hui il est communément admis d’écrire " LES FONDS ", c’est du moins comme cela que je l’ai toujours vu écrit lors de ce siècle’.

  3.  L’auteur commet une erreur d’observation : en effet, il ne s’agit pas de lys mais de boules ; en héraldique, le cercle surmonté de quatre grosses perles correspond à la couronne de vicomte : c’est un ornement du blason.

 

  1. On retrouve plus loin dans l’ouvrage de Lucien Michel une nouvelle référence à l’insalubrité des fermes entre deux guerres, page 204 " grand père allait à Maisonny (près de Monistrol / Loire)voir ses fermiers il demandait un œuf à la coque et sortait un morceau de pain de sa poche. I l avait ainsi résolu le problème de manger sans toucher à rien que la fermière, très sale, eut touché elle même.

  2. Source généalogie des Michel dans livre précédemment cité " Autour de grand père ".

 

  1. Cette pierre a bien existé et si je ne peux me référer avec certitude aux souvenirs contradictoires des témoignages de mes aïeux sur le moment de sa disparition, Lucien Michel l’évoque dans son livre : c’est dire, au passage la valeur symbolique de cet objet et évaluer la perte consentie avec la disparition de cet objet de convoitise. " le toit de tuiles rousses, grises ou violacées, est soutenue par des corbeaux de pierre ; l’un de ceux ci, à l’angle de droite sur le mur regardant les près, est sommairement sculptée en face humaine, que l’on désigne ici sous le nom de : Mère Michel ".

  2. C’est ce qui ressort du détail des 3 partages entre 1848 et 1939 et des plans cadastraux attachés.

  3. voir plus loin l’épisode de l’incendie de la maison par les De Morangiès, ennemis héréditaires des " MICHEL Des Fonds "sous la période révolutionnaire.

 

  1. Mr. Coudert était de Saint Privat et fut le remarquable analyste des archives locales de la commune, il s’intéressa aux Fonds et fut le relais et le conseil historique de la famille Mcihel quant elle voulu revenir sur les lieux de leur origine au milieu de ce siècle.

  2. Il est vrai que Saint Privat est situé à la lisière de l’Auvergne proprement dite mais reste en Velay.

  3. L’auteur fait remarquer que non loin de là on trouve aussi un village du nom de Conil et nous en donne une explication étymologique que je n’ai pas vérifié : " désignation vieille France de lapin ".

  4. Il est vrai qu’au début des années 1940 la route a été tracée qui conduit à Langeac . François Béringer dont il est question plus haut avait 20 ans et s’en souvient très bien .Particulièrement d’un litige avec le directeur du chantier à qui il revendique encore le remboursement d’un mur de soutènement qui lui aurait été promis en compensation des terrains amputés sur ses propriétés pour construire celle-ci. Afin de ne pas souffler sur les braises je ne parlerais pas du virage mal relevé qu’il dut dessiner contrairement aux conseils des gens du cru pour éviter la célèbre fontaine et qui est aujourd’hui encore si dangereux ! En outre, on peut préciser que la bâtisse ancienne a abrité pendant de long mois la cantinière, c’est à dire la personne qui s’occupait des repas des ouvriers de ce chantier.

 

  1. ainsi encore en 1941, la dédicace du livre " autour de grand père " faite à l’aïeul de la famille Michel fait elle référence à Sauveur MICHEL des Fons

 


PAGE 2 (Etymologie)

  1. tiré de l’ouvrage de M. Coudert.

 

  1. Voir infra conclusion titre 2

  2. in Ouvrage inconnu de l’étude de Mr. Coudert

  3. un autre Michel mourra sur le champ de bataille d’Essling pendant les campagnes Napoléoniennes

 


 

PAGE 3 (Aux temps des Béringer)

  1. Il existe des Béringer au village voisin de Conac contemporain de Dorothée Beraud qui tint même un temps un domestique de ce nom.

  2. On en veut pour preuve la destruction du porche d’entrée dans la cour, écroulé, sans doute pour laisser un accès plus facile aux propriétés qui sont sous le domaine. On voit apparaître par exemple un droit de passage dans l’un des partages du domaine à la fi n du 19 ème .

  3. En effet il y a beaucoup de bois autour du domaine particulièrement sur le versant sous Rochegude et Mercoeur. Ce boisement semble exister depuis les premières descriptions que nous tenons du domaine et renforce le caractère d’isolement de celui-ci. En outre, François Béringer faisaient commerce de vente de bois et de terrain, en plus de la ferme et ils ont ainsi gérer au mieux le boisement et l’entretien de leur propriété.

 

  1. La petite histoire raconte d’ailleurs que tous ces enfants n’auraient peut-être pas eu un père unique puisque Baptiste tenait un frère célibataire pour une part mais pour autre part bien plus jeune que lui...

 

  1. Pendant une année d’abord afin de se garantir d’un échec de cette nouvelle vie. Il est en effet plus facile de mettre un terme à un métayage qu’à un fermage et puis, on est ainsi assuré d’avoir de quoi manger puisque l’on est payé en nature et non pas en espèce. Par ailleurs, le propriétaire du métayer garde une plus grande maîtrise que sur un fermier. Très vite, cependant, cette formule sera abandonnée au profit d’un fermage classique. Symboliquement cela signifiait que les Béringer ne reviendraient alors plus exploiter le domaine. C’est ce qui s’est d’ailleurs passé.

 


 

PAGE 4 (Le temps actuels: les Chabanon)

  1. Les deux famille de fermiers (Ramousse et Bongrand) installés respectivement par ma tante et mon grand père étaient partis depuis plus de dix ans , les uns pour un domaine sans doute plus praticable et les autres en usine où les revenus promettaient d’être plus constants.

  2. A la suite d’un différent successoral semble t’il ! !

 

  1. Il lui donna finalement cette part ainsi que la grange qui relient les deux édifices en 1977.

  2. Paul Gras de Saint Pierre Eynac et son aide Alexis qui surent faire des miracles avec des pierres pas exactement comme ils l’auraient souhaité, mais toujours dans la bonne humeur malgré le froid et les exigences de la patronne qui les hébergea pendant des semaines entières comme cela se faisait à la mode des temps anciens quand l’on prenait un maçon pour construire sa maison.

 

  1. une pour les 3 garçons, 1 pour les 2 filles (nous sommes cinq frêres et soeurs: Thierry (début 1964), Philippe (fin 64),Sylvie (69), Annick (70) et Joël (73) et la chambre des parents plus chaude parce que collée au manteau de la grande cheminée.

  2. En effet, on compte que l’on peut y tenir à 15 ou à 20 et même jusqu'à 30 personnes si le hasard veut que les autres bâtiments du domaine soient ce jour là occupés par leur propriétaires respectifs, l’une des filles et le fils Béringer

 

 

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