BIBLIOGRAPHIE :
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NOTES
PAGE 1(introduction et situation)
Cest lors dun voyage quils appelaient pèlerinage tant leur grand père alors quils étaient enfants leur avait raconté la vie et lhistoire de les Fons vers le domaine de leur ancêtre que Lucien Michel , son épouse et ses enfants rencontrent la famille Béringer, on est à Pâques 1940.
Sur lorthographe du domaine voir plus loin, mais aujourdhui il est communément admis décrire " LES FONDS ", cest du moins comme cela que je lai toujours vu écrit lors de ce siècle.
Lauteur commet une erreur dobservation : en effet, il ne sagit pas de lys mais de boules ; en héraldique, le cercle surmonté de quatre grosses perles correspond à la couronne de vicomte : cest un ornement du blason.
On retrouve plus loin dans louvrage de Lucien Michel une nouvelle référence à linsalubrité des fermes entre deux guerres, page 204 " grand père allait à Maisonny (près de Monistrol / Loire)voir ses fermiers il demandait un uf à la coque et sortait un morceau de pain de sa poche. I l avait ainsi résolu le problème de manger sans toucher à rien que la fermière, très sale, eut touché elle même.
Source généalogie des Michel dans livre précédemment cité " Autour de grand père ".
Cette pierre a bien existé et si je ne peux me référer avec certitude aux souvenirs contradictoires des témoignages de mes aïeux sur le moment de sa disparition, Lucien Michel lévoque dans son livre : cest dire, au passage la valeur symbolique de cet objet et évaluer la perte consentie avec la disparition de cet objet de convoitise. " le toit de tuiles rousses, grises ou violacées, est soutenue par des corbeaux de pierre ; lun de ceux ci, à langle de droite sur le mur regardant les près, est sommairement sculptée en face humaine, que lon désigne ici sous le nom de : Mère Michel ".
Cest ce qui ressort du détail des 3 partages entre 1848 et 1939 et des plans cadastraux attachés.
voir plus loin lépisode de lincendie de la maison par les De Morangiès, ennemis héréditaires des " MICHEL Des Fonds "sous la période révolutionnaire.
Mr. Coudert était de Saint Privat et fut le remarquable analyste des archives locales de la commune, il sintéressa aux Fonds et fut le relais et le conseil historique de la famille Mcihel quant elle voulu revenir sur les lieux de leur origine au milieu de ce siècle.
Il est vrai que Saint Privat est situé à la lisière de lAuvergne proprement dite mais reste en Velay.
Lauteur fait remarquer que non loin de là on trouve aussi un village du nom de Conil et nous en donne une explication étymologique que je nai pas vérifié : " désignation vieille France de lapin ".
Il est vrai quau début des années 1940 la route a été tracée qui conduit à Langeac . François Béringer dont il est question plus haut avait 20 ans et sen souvient très bien .Particulièrement dun litige avec le directeur du chantier à qui il revendique encore le remboursement dun mur de soutènement qui lui aurait été promis en compensation des terrains amputés sur ses propriétés pour construire celle-ci. Afin de ne pas souffler sur les braises je ne parlerais pas du virage mal relevé quil dut dessiner contrairement aux conseils des gens du cru pour éviter la célèbre fontaine et qui est aujourdhui encore si dangereux ! En outre, on peut préciser que la bâtisse ancienne a abrité pendant de long mois la cantinière, cest à dire la personne qui soccupait des repas des ouvriers de ce chantier.
ainsi encore en 1941, la dédicace du livre " autour de grand père " faite à laïeul de la famille Michel fait elle référence à Sauveur MICHEL des Fons
PAGE 2 (Etymologie)
PAGE 3 (Aux temps des Béringer)
Il existe des Béringer au village voisin de Conac contemporain de Dorothée Beraud qui tint même un temps un domestique de ce nom.
On en veut pour preuve la destruction du porche dentrée dans la cour, écroulé, sans doute pour laisser un accès plus facile aux propriétés qui sont sous le domaine. On voit apparaître par exemple un droit de passage dans lun des partages du domaine à la fi n du 19 ème .
En effet il y a beaucoup de bois autour du domaine particulièrement sur le versant sous Rochegude et Mercoeur. Ce boisement semble exister depuis les premières descriptions que nous tenons du domaine et renforce le caractère disolement de celui-ci. En outre, François Béringer faisaient commerce de vente de bois et de terrain, en plus de la ferme et ils ont ainsi gérer au mieux le boisement et lentretien de leur propriété.
La petite histoire raconte dailleurs que tous ces enfants nauraient peut-être pas eu un père unique puisque Baptiste tenait un frère célibataire pour une part mais pour autre part bien plus jeune que lui...
Pendant une année dabord afin de se garantir dun échec de cette nouvelle vie. Il est en effet plus facile de mettre un terme à un métayage quà un fermage et puis, on est ainsi assuré davoir de quoi manger puisque lon est payé en nature et non pas en espèce. Par ailleurs, le propriétaire du métayer garde une plus grande maîtrise que sur un fermier. Très vite, cependant, cette formule sera abandonnée au profit dun fermage classique. Symboliquement cela signifiait que les Béringer ne reviendraient alors plus exploiter le domaine. Cest ce qui sest dailleurs passé.
PAGE 4 (Le temps actuels: les Chabanon)
Les deux famille de fermiers (Ramousse et Bongrand) installés respectivement par ma tante et mon grand père étaient partis depuis plus de dix ans , les uns pour un domaine sans doute plus praticable et les autres en usine où les revenus promettaient dêtre plus constants.
Il lui donna finalement cette part ainsi que la grange qui relient les deux édifices en 1977.
Paul Gras de Saint Pierre Eynac et son aide Alexis qui surent faire des miracles avec des pierres pas exactement comme ils lauraient souhaité, mais toujours dans la bonne humeur malgré le froid et les exigences de la patronne qui les hébergea pendant des semaines entières comme cela se faisait à la mode des temps anciens quand lon prenait un maçon pour construire sa maison.
une pour les 3 garçons, 1 pour les 2 filles (nous sommes cinq frêres et soeurs: Thierry (début 1964), Philippe (fin 64),Sylvie (69), Annick (70) et Joël (73) et la chambre des parents plus chaude parce que collée au manteau de la grande cheminée.
En effet, on compte que lon peut y tenir à 15 ou à 20 et même jusqu'à 30 personnes si le hasard veut que les autres bâtiments du domaine soient ce jour là occupés par leur propriétaires respectifs, lune des filles et le fils Béringer